Slackware 15 – Le cas Sbopkg

Fut une époque où j’ai laissé tomber les slackbuilds, préférant ajouter des dépôts tiers via slackpkg+

Cette méthode m’ a surtout été utile lors des gros travaux d’intérieur entre la version 14.2 et 15

Je ne l’ai pas reconduite après le crash de ma machine.

Rappel Important: Rien ne gère les dépendances des paquets dans Slackware, si ce n’est le barbu (dans l’esprit, on peut être imberbe, ça marche aussi) situé entre le clavier et la chaise.

Du coup, c’est parti.

On télécharge sbopkg

Je me déplace dans /home/user(ton nom d’utilisateur)/Downloads

Et je télécharge le paquet

$wget https://github.com/sbopkg/sbopkg/releases/download/0.38.2/sbopkg-0.38.2-noarch-1_wsr.tgz

Je passe administrateur du système

$su

Et j’installe le paquet

#installpkg sbopkg-0.38.2-noarch-1_wsr.tgz

Sans plus tarder, on lance sbopkg

#cd

#sbopkg

On se rend dans Utilities -> Repository pour vérifier que c’est bien celui destiné à Slackware 15 qui est sélectionné ( une vérification qui n’a pas lieu d’être, mais bon, on n’est jamais assez prudent)

Back au menu principal et on synchronise le dépôt

Vu la masse de Slackbuilds présente, un petit café, avec le son qui va bien, n’est pas de refus lors de la première synchro

Voilà, à partir de là, vous pouvez lister les slackbuilds Installés/non-Installés, ceux contenus dans chaque catégorie, vérifier s’il y a des mises à jour de ceux qui sont installés, chercher un slackbuild en particulier ,avoir accès au changelog , etc, etc….

Manipulez le programme. C’est de cette façon qu’on apprend.

J’ai envie d’installer stellarium, la suite en captures

Il y a un tas d’options, explorer un peu vous permettra de comprendre ce qu’est un slackbuild et comment tout cela fonctionne. Il arrivera qu’il y ait des erreurs (rares cependant), bien souvent le manque de dépendances permettant la compilation en est la cause, à vous de les installer (elles sont explicitement nommées)

Je veux juste l’installer, je choisis l’option correspondante

C’est parti !

On sort de sbopkg et on lance le logiciel. J’ai pris pour habitude d’exécuter le premier démarrage en mode Terminal, histoire de voir s’il me manque des paquets (on en revient aux dépendances) qui empêcheraient le logiciel de se lancer.

Ok

A savoir qu’on peut utiliser sbopkg en ligne de commande, pour en savoir plus

$man sbopkg

Le manuel, il n’y a que ça de vrai 😀

J’ai terminé la rédaction de ce billet avec l’album « #4 » de Nasser, ça réveille en douceur

J’en ai fini avec Slackware (pour cette série de billet). Pour les prochaines semaines, rythme incertain de publication, j’ai d’autres chats à fouetter.

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