VSCodium est le penchant libre, licence MIT, de Visual Studio Code (de chez tonton ‘crosoft).
C’est un « fork » de ce logiciel. (Booouhouhou le vilain mot.. 🙂 )
La raison?
« Microsoft’s source code is open source (MIT-licensed), but the product available for download (Visual Studio Code) is licensed under this not-FLOSS license and contains telemetry/tracking. »
(Le code source de vscode de Microsoft est open source (sous licence MIT), mais le produit disponible en téléchargement est sous licence non-FLOSS et contient des éléments permettant la télémétrie et le suivi de l’utilisation du logiciel.)
Et, accessoirement, c’est le logiciel avec lequel je vais bosser dans l’immédiat.
[Edit: c’est en faisant le ménage sur le blog que je suis retombé là dessus… Et ça m’emmerde franchement de balancer ce brouillon à la poubelle alors qu’il ne me restait plus grand chose à faire. Je le termine donc en ce 15 Décembre 2019, année des têtes d’œufs. Ce billet a été débuté sur une Debian 9, la dernière partie (5/) sur Debian 10. Rien de prétentieux, juste un guide minimal pour prendre rapidement KDE/Plasma en main ]
A titre personnel, et à part mes gestionnaires de fenêtres, c’est le seul DE que j’utilise encore à ce jour. J’ai pourtant détesté KDE4, les goûts et les couleurs….
Ce billet n’a pas pour vocation d’expliquer dans les détails toutes les actions possibles, il se veut comme un guide de découverte. Entrer en profondeur dans les détails demanderait un temps fou (dont je ne dispose pas), je me contenterai donc de l’essentiel.
En premier lieu, désolé pour l’attente, mais j’avais d’autres chats à fouetter ces derniers temps. Il s’avère également qu’il est, par moment, difficile pour moi (avec mes habitudes) de simplifier les choses. Pas évident de revenir à un mode de fonctionnement basique et graphique alors que j’ai abandonné cette façon de faire depuis tant de lunes….
Merci d’être indulgent, je découvre en même temps que vous 🙂
Comme d’habitude, je reste neutre. Je ne prêche pas pour une chapelle ( d’autant plus que l’année qui vient de passer m’a fait prendre prendre conscience que je suis autant un utilisateur de Slackware que de Debian, ce qui n’est pas pour me déplaire. L’âge et la raison, je pense. )
J’aimerai revenir sur une ou deux choses essentielles à prendre en considération avant de choisir Debian pour son utilisation journalière:
-L’ avantage/problème de Debian est que cet OS est fourni uniquement avec des logiciels libres. Pour l’instant, je n’évoquerai pas les cartes graphiques (puisque les pilotes libres fonctionnent très bien), je reviendrai sur ce sujet à la fin de cette série sur Debian ( pour ceux qui veulent utiliser leur matos à fond) avec l’installation du pilote propriétaire de ma propre carte graphique Nvidia (on verra si la légende affirmant que c’est une galère sans nom est fondée 😀 )
-Le problème le plus pénalisant, surtout à l’installation, reste le non-support de la plupart des pilotes gérant le Wifi. Par précaution, mieux vaut utiliser une prise ethernet ( ou placer le « blob ».deb sur une clé USB tierce, permettant ainsi à l’installateur Debian de gérer le wifi . Il vous demandera lui même si vous possédez le pilote adéquat sur un support externe) pendant l’installation. Pilote que l’on trouve aisément chez Debian, en cherchant un minimum. Si ce genre de chose vous rebute (normal, nous ne sommes pas tous à l’aise avec l’outil informatique), optez pour une autre distribution dont la structure permet l’utilisation de pilotes non-libres dès l’installation.
[NOTE]:Autant prévenir les « p(f)ur(m)istes(?) » qui lisent ce blog, et voudraient venir jouer les trolls dans les commentaires, que nous allons voir dans ce billet comment contourner certaines restrictions avec l’ajout des dépôts « Contrib » & « Non-free » de Debian. Sachant qu’ici, la règle est toujours la même : Commentaires pertinents, argumentés =validés ( sachant que je me fous de la forme, puisque seul le fond est digne d’intérêt) et les débiles=corbeille
Si l’utilisateur final trouve que sa machine fonctionne très bien sans blobs proprio et qu’il a envie, du coup, de s’en tenir à l’utilisation de logiciels libres exclusivement, c’est son choix. Celui qui voudra utiliser des logiciels non-libres aura ce choix également puisque Debian le propose ( je cite : » Ainsi, bien que les travaux non libres ne fassent pas partie de Debian, nous prenons en compte leur utilisation et fournissons donc l’infrastructure nécessaire (à l’image de notre système de suivi des bogues et de nos listes de diffusion »)). .
Cela ne veut pas dire que l’un vaut mieux que l’autre (à titre personnel, je suis pour l’utilisation de Debian 100% Libre mais, s’il s’agit de faire fonctionner du matériel récalcitrant, aucune hésitation à avoir quand à l’utilisation de blobs proprio. Tant pis, ma machine ne sera constituée que de 99,9% de logiciels libres, ce qui fera de moi un traître à la cause auprès des puristes, dont l’avis m’importe peu…) . Ce qui me permet de passer à … Lire la suite →
Il y quelque chose qui m’a sauté aux yeux lors des derniers billets…
Je me suis aperçu que je m’ennuyais ferme sur les distributions que j’utilise donc occasionnellement.
C’est Debian Stretch 9.5 fraîchement installé qui m’a vraiment fait percuter du bond en avant des distributions ces dernières années.. J’avais dit il y a quelques mois à Frédéric Bezies que niveau DE, on se faisait chier (dans le texte), que c’était devenu très stable tout cela…et diaboliquement efficace…
Je ne pensais pas si bien dire…
Le constat est simple que ce soit Ubuntu, Debian, Mint, Fedora , bref peu importe… Les DE font tout à notre place (à savoir que je me mets vraiment dans la peau d’un novice lorsque je fais ces billets. Je sais ce que je veux appliquer comme action et je cherche une application graphique qui le fera plutôt qu’une ligne de commande. C’est limite bluffant lorsqu’on s’intéresse vraiment aux possibilités offertes par KDE,Gnome ou autre Cinnamon point de vue simplicité.) ..
Sur la debian KDE installée (je n’avais pas fait tourner une stable, personnellement, depuis un petit moment), je n’ai pas encore eu à ouvrir un terminal pour configurer quoique ce soit (alors que la dernière Debian que j’ai configuré pour une tierce personne, l’a été de manière ancestrale 🙂 ), les interfaces graphiques sont lisibles et précises, les options clairement définies. C’est ça, je pense que de ce côté, c’est vraiment mature, clair… et facile. Même pas besoin de synaptic… 😮
Ça me déplaît un peu, d’un côté ( bon, personne ne nous empêche de faire du #NoDE, y’a de quoi sur Debian)…
Mais c’est l’objectif du logiciel libre,non? Son essence même : donner l’accès à l’informatique libre pour tous et il faut avouer que cela n’a jamais été aussi facile et complet au niveau de l’offre…
Et pour les dictateurs de la ligne de commande, reste pas mal d’OS sympas à triturer ou garder les vieilles habitudes (et oui, c’est ça, des vieilles habitudes aussi efficaces soient-elles)
Alors, mes frustrations de geek, bah, je les garde pour moi…
Et vous, vous en pensez quoi (ou pas)?
(On ne parle pas de forcenés de l’outil informatique ici mais plus de madame Michu, hein, pas de confusion dans les têtes et pas de baston, s’il vous plaît…)
Comme nous l’avons vu dans la 1ère partie, le sujet qui sera abordé dans ce billet concernera la gestion des logiciels sous Linux Mint. Je pensais faire ce billet sur ce sujet en explorant, par la même occasion, celui de la gestion du matériel. Je préfère séparer les 2 pour plus de lisibilité
Linux Mint propose 2 gestionnaires de paquets:
a/ Le gestionnaire de paquets MintInstall
Nous l’avons abordé dans le billet précédent. Simple d’utilisation, je le trouve parfait pour l’utilisateur dépourvu d’intérêt pour l’informatique. Très semblable à ce que l’on peut trouver sur Windows ou Android, ce qui ne déboussolera pas notre débutant…
Comme la façon d’installer/supprimer un logiciel a été vu dans la 1ère partie et qu’il est très minimaliste, voici ce qu’il reste à en dire.
Maintenant que j’ai une machine relativement récente (2015) où j’ai de la place sur le DD secondaire…
Je vais bien sûr continuer sur des billets plus « geek », mais aborder la découverte des systèmes pour débutants sous un autre angle (Je commence avec Linux Mint. je passerai ensuite à un autre OS à prise en main facile). Ce sera, quoiqu’il arrive, du robuste, de l’éprouvé…
Une sorte de mode d’emploi basique de certaines distributions et de certains bureaux (oui, aussi. Pas mal de question sur le sujet) qui conviendront aux plus grand nombre.
Je pense faire 3 billets par distribution (sur le modèle : Découverte d’un système + découverte d’un bureau):
-Le premier billet( le plus long)portera sur la post-installation, une vue rapide sur le bureau (généralités) et un aperçu de la gestion des logiciels (basique)
-Un autre concernera le Bureau installé et sa configuration (disposition, thèmes, comportement, etc…)
-Un autre, encore, portera sur un approfondissement des parties « Gestion des logiciels » et « Gestion du matériel »
-Éventuellement un guide de recommandations (selon la distribution) et de logiciels à utiliser/découvrir
Je n’en connais pas encore l’ordre
Ces billets seront plus ou moins espacés, selon le temps à disposition (ou celui qu’il fait)
Plutôt que de faire d’énièmes démonstrations d’installation de telle ou telle distribution, je prends le parti de me préoccuper de la perte de repères (et ils sont nombreux, je le constate moi-même tous les jours) qu’engendre une migration de système d’exploitation pour l’utilisateur novice en essayant de produire un contenu suffisamment clair et lisible pour l’accompagner.
Le propos se voudra très simple (les trolls diront simpliste)
J’insiste sur le fait qu’à aucun moment, je ne parlerai de Lignes de commande ou de Terminal
Linux Mint – Post Installation
On suppose que le système est installé, il y a une tonne de documentation sur le net (ici y compris) qui concerne le sujet et comme l’installation ne change pas… Lire la suite →
Yep, je sentais venir la news de la Release prochaine de la nouvelle version Stable de Debian: Stretch, qui remplacera donc Jessie (dont le statut sera dorénavant Old Stable)
Cela fait en effet 2 jours que Unstable se remet en route : 80 à 90 mises à jour( en 3 fois) ces deux derniers jours (dont 2 aujourd’hui) concernant notamment quelques éléments sensibles du système
je vais donc suivre avec intérêt ce cycle qui redémarre pour éviter les pbs après ces quelques mois de grand calme (pour cause de gel de testing)
J’ai mis les liens pour les débutants (visiblement, il y en a ) qui découvrent Debian et se posent quelques questions sur le cycle de cette distribution
Tout d’abord, je pense avoir vraiment trouvé ce que je cherchais dans le monde Gnu/linux. Je ne reviens pas sur mon parcours, la plupart des lecteurs de ce blog sont au courant. Le dernier mois a été source de cogitation pour ma part. J’ai abandonné Archlinux, j’ai tenté autre chose pour finalement me rendre compte que je n’ai pas besoin d’autres distributions que Slackware et Debian pour mon usage personnel. Du coup, je suis repassé en dual-boot et ai redimensionné ma partition :/DATA en lui rajoutant 32 Go supplémentaire d’espace libre (/ + /swap d’Archlinux)
Loin de moi l’idée de balancer le sempiternel » Mes distros sont les meilleures, le reste, ça pue ». Non, ce serait malhonnête intellectuellement et l’enrichissement que j’ai tiré de mes expériences Linuxiennes est un plus non-négligeable. Le truc, c’est que les autres systèmes d’exploitation ne me conviennent pas.
Certains m’ont posé la question du pourquoi s’être arrêté sur .. :
–Slackware?
Bonne question, j’ai mis énormément de temps à trouver une réponse à celle-ci. C’est une distribution que j’ai utilisé par intermittence pendant des années, avant de la fixer définitivement
1/ C’est ce qui se rapproche le plus de l’ Unix-Like à mes yeux. On y retrouve aussi la philosophie KISS, chère à Archlinux également. J’apprécie le fait de ne pas avoir d’outils graphiques pour configurer le système, je peux le faire par simples fichiers textes. Même si j’ai tâté du slapt-get (Gslapt, plus précisément, pour la gestion des paquets en mode graphique), je suis revenu aux outils basiques made in Slack et cela me va bien. Je préfère me servir de scripts ou configurer à la main, ce qui permet de comprendre ce que je fais, alors que des outils de configuration « user-friendly » ne m’apportent pas vraiment ce côté « contrôle absolu » que je recherche (ce qui est tout relatif, il m’est arrivé de me planter grave)
2/La stabilité est une condition essentielle aux yeux des utilisateurs de Slackware ( et surtout de ses développeurs) , au détriment de la fraîcheur. Je préfère un logiciel qui fonctionne avec robustesse qu’un logiciel qui aurait des défauts ou dont le but est de réinventer la roue. Alors même si j’utilise la version « Current », elle est bien plus stable et solide qu’une distribution « classique », aussi bien au niveau du système de base que des logiciels. Je n’hésite pas à la classer au niveau d’une Debian Stable de ce point de vue.
3/Le fonctionnement et la structure des logiciels inclus dans Slackware restent le plus proche possible de l’état dans lequel ils ont été publié. Je trouve que c’est une énorme marque de « respect » pour le travail fournit par ceux qui les ont développé. Et j’y suis sensible. Ce qui exclu de facto un développement intermédiaire ou des chiés de correctifs qui peuvent dénaturer le logiciel tel qu’il a été pensé.
4/ Une gestion des dépendances qui implique de mettre les mains dans le cambouis (spécialement dans le cas de l’installation de Slackbuilds). Déroutant dans les débuts puis on s’y fait.
5/ Le développeur principal de la distribution se fout de la popularité, ou du nombre de PC équipés, par son système d’exploitation et au final, il est le seul maître à bord. Slackware fait ce pour quoi elle est faite, chacun est maître de la construire comme il l’entend. La compréhension, l’apprentissage et la responsabilisation des utilisateurs sont mis en avant et je trouve que c’est une bonne chose Et si c’était cela la liberté?
6/ Une communauté bien cool pour ne pas gâcher les choses. Ce qui est de plus en plus rare dans les paniers de crabes actuels des distributions grand public, que je ne fréquente plus depuis des lustres.
-Debian?
Je ne vais pas en parler des heures. Parce que c’est Debian. Pour l’effort fait de fournir un système 100% Libre sans pénaliser ceux qui auraient besoin de logiciels propriétaires pour faire fonctionner leur système sur une machine nécessitant ces derniers, quid de la non-discrimination. Pour son contrat social. Pour sa version Unstable autant que sa version Stable. Pour son côté » je me tape la configuration en mode graphique ou pas », ce qui fait qu’elle convient autant à un débutant qu’à un curieux ou un utilisateur avancé. Parce que même si j’utilise la version Unstable (et qu’il m’arrive régulièrement de piocher dans le dépôt experimental), je n’ai jamais eu à faire à de gros problèmes mettant en péril la stabilité ou la cohérence du système d’exploitation et si un bug surgit, il ne met jamais bien longtemps avant d’être solutionné.
Pour résumer, ces 2 distributions correspondent parfaitement au Gnu/Linuxien que je suis et à l’idée que je me fais de l’informatique. Ce qui ne me donne en aucun cas le droit de juger (ou d’être jugé par) ceux qui ne peuvent pas les encadrer. Ce qui compte, c’est que l’outil que l’on utilise convienne à l’humain, dans toute sa diversité, qui se trouve derrière l’écran.
Pour répondre à l’autre question qui m’a été posé cette semaine( par une des personne que j’ai débarrassé de Microsoft et qui veux aller plus loin) pour la énième fois, j’ai une classification toute personnelle, et minimaliste, des systèmes indispensables au monde Gnu/Linux après ces années passées à triturer de la distro:
User-Friendly: ( en ne prenant en compte que de la simplicité d’installation et d’utilisation, la reconnaissance du matériel et la possibilité d’utilisation de logiciels non-libres. Des systèmes spécialement destinés aux migrants de la firme de Redmond )
Mint (Bien qu’il serait judicieux de faire un choix entre une base Debian ou une base Ubuntu), Mageia, Debian Stable (de préférence la DFLinux), Les « saveurs » d’Ubuntu (Xubuntu, Kubuntu, Ubuntu-MATE,etc…), Emmabuntus (basé sur Debian depuis peu) éventuellement une OpenSuse.
Je vois déjà venir le troll » Et pourquoi pas Ubuntu? Parce que tu la détestes »
C’est plus simple que ça, regarde le merdier actuel dans lequel se trouve cette distribution (abandon de MIR et d’Unity) . Pas besoin d’en dire plus. Canonical a pensé pouvoir faire cavalier seul face à l’écosystème GNU/Linux (alors qu’intrinsèquement, sa distribution y est liée de la tête aux chevilles : un « bondage » en bonne et due forme. Que son PDG le veuille ou pas) et concurrencer les OS proprio qui ont verrouillé le marché que cette entreprise visait. C’était perdu d’avance. Maintenant, il faut tout revoir. Ce qui n’est pas spécialement rassurant pour ses utilisateurs (du moins, pour l’instant). A voir le résultat que donnera la version 18.04 de l’Ubuntu-Gnome vampirisée
L’autre paramètre est l’utilisation de tel ou tel bureau…
Mais on s’en fout, l’important est qu’il convienne à l’utilisation et l’idée que se fait l’utilisateur d’une interface graphique. On nous offre la possibilité de choisir, c’est une option que les utilisateurs des systèmes propriétaires n’ont pas le luxe de connaître. C’est un terrain sur lequel, malgré mes préférences, je ne m’engage pas. Mes goûts ne sont pas ceux des autres (surtout lorsqu’ils sont débutants) et c’est très bien comme cela.
Intermédiaires: (plutôt destinés aux débutants curieux ou à ceux qui ont déjà prit l’habitude de mettre les mains dans le cambouis et auxquels le terminal ne fait pas peur )
Fedora, Manjaro (qui à mon avis va devoir faire face à l’installateur ArchAnywhere pour Archlinux), PCLinuxOS, Debian « Testing » ou « Unstable » éventuellement des trucs comme Frugalware, Slackel, etc…
Experts: (terme prétentieux, mais c’est la classification classique que l’on rencontre. On peut y inclure les systèmes geekesques , voir dans la partie exotiques)
Slackware, ArchLinux (l’originale) , Gentoo
100% Libre: (pour les puristes, et malgré les quelques extrémistes idéologiques qui squattent cette catégorie)
Debian (sans les dépôts contrib et non-free, par défaut donc) , Trisquel ou encore Parabola
Spécialisés:
Je considère que les distributions comme Ubuntu-Studio, Librazik, Scientific, Kali, Tails, SteamOS etc… répondent à des besoins spécifiques (Multimédia, MAO sécurité, serveur, éducation, etc…). plutôt destinées aux utilisateurs qui savent ce qu’ils veulent. Et il en existe une bonne pelleté. (Perso, j’ai toujours mon système Kiss0s sur une clé USB qui traîne dans ma poche quand je me déplace)
Exotiques:
Void, 0linux (au point mort me semble-t-il), LFS
Des distributions geekesques dont le fonctionnement (et la construction originale) rend leur existence légitime. Elles impliquent une certaine compréhension du fonctionnement de GNU/Linux et une bonne dose de persévérance. Idéales pour approfondir.
Recyclage:
Des distributions telles Antix, Toutou Linux, Puppy, Lubuntu ,etc… permettant de faire revivre de vieilles machines plutôt que de les balancer dans un déchetterie où elles auront le loisir de polluer les sols via leurs composants soumis aux intempéries
Conclusion personnelle
Voilà pour la liste des systèmes que je considère comme incontournables. Ce n’est pas pour autant que les autres distributions n’ont pas le droit d’exister comme le voudraient certains. Même si j’admets bien volontiers que les distributions basées sur Ubuntu sont bien trop nombreuses et n’apportent au final pas grand chose au schmilblick. Plus généralement, je pense que la loi de l’évolution s’applique également à l’informatique et a tendance à faire disparaître les distributions (et par extension, les logiciels) « inutiles », ce n’est qu’une question de temps. Faut laisser faire les choses, râler dans le vide après ces systèmes ne sert absolument à rien. S’ils existent, c’est qu’il y a des utilisateurs qui ont fait le choix de les utiliser (jusqu’au jour où ils trouvent mieux ou que la distro est abandonnée). Puis lorsqu’on prive les utilisateurs de Linux de la liberté de choix, on voit ce que cela donne (Guerre des init, plantage grossier des projets d’Ubuntu, guerre intra-communautaire, etc….) , puis ça part dans le fork compulsif (dispersion) et les invectives à tout va. Je dirais que c’est à ce niveau que ça pêche le plus, actuellement.
Voilà, je ne reviendrai pas sur le sujet, j’ai horreur d’avoir l’impression de me répéter. J’espère avoir cependant répondu aux questions (d’ailleurs merci à ces quelques personnes de me les avoir posé, ça m’a obligé à y réfléchir. C’est toujours bien de cogiter sur le pourquoi du comment) qui m’ont été soumises en restant le plus compréhensible possible.
Ce billet a été rédigé avec pour fond sonore l’album « Duality » de « Die Form »