No comment
No comment
J’ai déjà partagé quelques billets de Christophe par le passé.
Je partage celui-ci.
Petite sortie tranquille du matin, genre d’endroit idéal pour taquiner la perche ou le Bass (toujours en No-Kill)
Ce sont les apparences…
J’avoue qu’en ce moment, je suis peu sur le blog. Enfin bon, ça se voit surtout.Que voulez vous, il ya des périodes…Le disque dur contenant la Debian sur laquelle je prenais appui pour la suite de billets sur le système et KDE est mort.. Je pense que je vais terminer (il ne me reste plus grand chose à faire) avec la version instable sauce Kiss0s. Quand je trouverai le temps, of course…
Sparky Linux toujours en test, pas un problème à signaler…
Slackware Current continue son bonhomme de chemin. Là aussi, pas de problèmes à signaler..
Void se porte très bien… et je ne parlerai pas de la Fedora, exemplaire de stabilité malgré les dépôts additionnels plus ou moins testing
On le sent bien que la maturité de l’écosystème GNU/Linux est là… La qualité et la cohérence de l’ensemble ne dépendent plus que de la façon dont les différentes distributions sont conçues.
Avoir un peu l’espoir que ça s’arrange.
Mais quand tu vois ce qui suit …
Il y en a partout. Tu te dis que la prochaine fois, tu prévois le coup et que de toute façon, personne ne le fera à ta place. Pour la majorité des gens, ce n’est pas leur problème (ils comprendront bientôt que si, ça l’était), ils détournent le regard, comme ils savent si bien le faire pour le restant. Tu prends des sacs poubelle avec toi. A deux, ça peut déjà le faire…
Sur 500 mètres, ça va, ce n’est pas trop (la longueur totale de cette rivière étant d’environ 80 km) …
Mais lorsque tu vois la masse de déchets sur cette distance, sans compter les métaux, les éclats de verre qui jonchent le lit de la rivière, je parle même pas des nappes grasses et suspectes qui se donnent en spectacle dans les eaux stagnantes avec la participation des rayons du soleil… Lire la suite
« Dans cet article, nous allons essayer de livrer un part de notre expérience sur 10 années de travail (plus ou moins important) sur notre terrain afin d’expliquer comment nous en arrivons au résultat actuel, à savoir l’embryon d’un jardin vivant tendant vers ce que certains nomment un jardin-forêt.
Il nous aura fallu être patient avant d’atteindre le premier but fixé, refaire vivre un terrain afin d’avoir un espace vivant, que ce soit le sol ou les plantes/arbustes/arbres.
Lorsque vous partez d’un environnement « hostile » et sauvage quasi-nu, vous vous posez des questions, vous vous demandez quoi faire. Lorsqu’en plein été, vous voyez apparaître des fissures dans votre sol, vous vous posez des questions. Et lorsque vous voyez que la végétation ne dépasse pas les 20cm de haut, vous vous posez des questions. Et à toutes ces questions, vous devez trouver des réponses, si imparfaites soit-elles…. »
Super intéressant.
J’espère quand même éviter une sécheresse cette année
la suite: Comment ça se passe en pratique
chez Fred & Christophe
Etant moi même passionné de fleurs, de jardinage et de permaculture, je partage le lien donnant accès au blog parlant de Permaculture (et de Fraises, mais pas que) de Fred et Christophe, 2 personnes que j’apprécie particulièrement .Parce que la saison 2017 démarre, juste pour le plaisir des yeux…
Source : Parce que la saison 2017 démarre, juste pour le plaisir des yeux…
…, mais il donne à pleurer »
P.Desproges
Un petite quinzaine passée entre Bordeaux et Biarritz.
Des pins à perte de vue, un océan superbe, d’immenses plages « sauvages » entre des points de concentration humaine.. Le top.
Pas tant que cela..
J’ai trouvé quelques rejets suspects les premiers jours ( probablement des galettes de pétrole agglomérées et qui fleurent bon l’or noir..), des emballages de pseudo-nourritures, des contenants à boissons divers éparpillés par des touristes qui ne sont pas réellement encouragés à faire attention puisqu’on leur vante le fait que les plages sont nettoyées quotidiennement..
Puis, il y a la papeterie du coin, qui fait vivre du monde, tant pis pour l’odeur plus ou moins forte mais toujours pestilentielle. Elle ne m’a fait vomir qu’une fois, faut dire que j’avais pris un coup de chaud puis j’avais pas besoin de passer devant…
Je ne l’ai senti qu’une fois sur une plage fréquentée mais isolée des agglomérations du coin.
Bel endroit que cette plage « officiellement » surveillée et si on va un peu sur la droite ( style 1km de marche ),il n’y a pas un pèlerin dans les 200 mètres alentours…
A marée basse, les plages font au minimum 150 mètres de large entre le bas et la première dune..
Des plages superbes et une vue terrible, le bonheur.
Bon, j’ai senti une fois les émanations de la papeterie, ça devait être le vent parce qu’elle est loin…
Mais lorsque l’on s’approche de la dune, d’autres sentiments tels que la colère ou le dégoût apparaissent.
Je constate donc que certains considèrent toujours que les plus beaux endroits ne sont que des poubelles comme les autres, sans compter les déchets plastiques et autres filets provenants de l’océan
Mais malheureusement, je n’étais pas au bout de mes surprises.
Le dernier jour, ma douce et moi décidons de couper à travers la lande, 2/3 kilomètres avant cette plage sauvage et « surveillée », au Nord .
Après une petit marche forestière, nous apercevons la dune, un peu d’escalade et on est à la plage.
Un truc m’interpelle mais je ne dis rien. Ma moitié me le fait néanmoins remarquer. Ça va, il n’y a pas que moi que cela perturbe
« C’est quoi ce conduit? »
Il vient des bois ( la première ville doit être au minimum à 3/4 kilomètres ) et passe sous la dune.
Passons..
On ne va pas se tracasser plus que ça, au sommet la vue est imprenable.
On s’avance et là…
Je n’ai pas de mots que des photos…
Un aperçu en vidéo??
Le conduit rejette une eau nauséabonde ( elle venait de là, l’odeur de l’autre jour ). Cette odeur si particulière d’un cadavre qui aurait bouffé des œufs pourris, assaisonnés au sulfure d’hydrogène. La flotte est à 30 °C, au moins, d’un aspect marron chiasse. L’océan a cette teinte sur plus de 500 mètres et il charrie une mousse dégueulasse sur facilement 1 kilomètre ( direction la plage sauvage « surveillée »). A la sortie du conduit, une jolie plaque traduite en 4 langues, nous apprends que la papeterie qui emploie 500 personnes sur le coin, déverse ses eaux usagées « principalement » non toxiques ( donc, implicitement : pas que…).
J’ai effectué des recherche sur le net ce matin, sur le sujet. Et il a l’air bien tabou dans la région, mais j’ai trouvé ce qui m’intéresse
Extrait:
» « Les entreprises disposent de leurs propres installations de traitement des eaux usées. Elles rejettent toutes deux leurs effluents traités en mer via un émissaire partagé. »
Le document de référence de l’entreprise et le site de l’Irep indiquent le contraire. Il s’agit de rejets directs (par opposition aux rejets indirects qui passent par une station d’épuration). La TOTALITE des produits dangereux n’est pas traitée et seul 1/3 des produits non dangereux l’est (source IREP, Janvier 2014). »
Sans compter l’état douteux de la canalisation qui achemine cette merde vers l’océan sur des kilomètres
Putain, on est allé se baigner dans ce coin. Sur la plage » surveillée », les gens se baignent par dizaines et le courant déplace les rejets vers eux, à 3kms au Sud
Putain,la Flore et la Faune
Nous continuons à marcher en direction du Sud, en remontant vers la dune pour le coup final et fatal au moral
Comment il disait le petit homme qui se voyait grand
» L’écologie, ça commence à bien faire »
Apparemment, cela a été appliqué à la lettre….
Combien de cas identiques le long de la côte atlantique ou aux abords des fleuves et des rivières??
La nature a trouvé son liquidateur
Et visiblement, il en est fier….
Perso, j’adhère.
J’y pense depuis un moment pour fleurir un peu plus notre champ, à voir prochainement. Depuis quelques années, la guérilla jardinière s’empare de nos villes : des habitants frust…
Source : Fabriquer et lancer des bombes de graines – Jardinage
Un blog que je fréquente souvent et de qualité ,svp