Mauvaise nouvelle pour moi. En voulant terminer le billet sur Debian et KDE/Plasma Dimanche matin, je me suis aperçu que je ne pouvais plus booter sur l’OS. J’ai 2 solutions : La vieillesse du DD, qui avait déjà donné des signes de faiblesses, ou un pb de connectique… Je regarderai ça quand j’aurai le temps..
Sinon, avec la partition libre sur le portable (40 Go sur 500 dispos), j’ai claqué Sparky Linux, version Dev, à côté de Void et Slackware
Je dois avouer que je ne connaissais pas cette distro, jamais testé, si ce n’est en virtuel…
Et tester une distro sur machine virtuelle pour donner son avis, c’est un peu comme si je demandais à un vendeur de cycle de me permettre de tester un vélo avant achat, que je faisais 500 mètres avec et que je disais au mec après coup: « C’est de la merde parce qu’il est bleu, je ne le prends pas »…
Un jugement biaisé et sans intérêt, à part peut être si le but est de prouver au vendeur que vous êtes réellement bancal de la boite à neurones….
Non, rien ne vaut les tests en dur et sur la durée…
Ben, de bonnes nouvelles pour cette machine. Après le problème du Bluetooth réglé lors de la mise à jour vers Fedora 29 , ça faisait 2 semaines que je ne l’avais pas mise en route, + de 350 mises à jours (incorporant le kernel 4.20, la glibc et d’autres parties clés du système, les dépots updates-testing free et non-free étant actifs sur ma distro, elle est limite rolling) et une erreur qui ressort.
On télécharge l’image de la Crunchbang++ (attention, pour les anciens de Chrunchbang, c’est pareil, mais non :D). L’image est dispo en 32 et 64 bits.
C’est quoi cette distro me direz-vous???
Debian+Openbox+Tint2+Conky avec les logiciels essentiels et les outils cbpp (quelques scripts par ci, par là pour aider)..
Ce qui fait qu’avec son installeur Debian et sa configuration semi-auto au premier démarrage ( faut quand même que l’utilisateur valide les étapes, d’où l’importance de lire les petites questions dans le terminal de départ :D. En effet, je ne vois pas ce que foutraient Madame Michou et son chat avec des paquets de Dev, etc….), elle reste ultra abordable…
Note: Ne faites pas gaffe au conky de la première capture, je l’ai pas corrigé et c’est la base de celui de la Sid (sur ma tour).
En capture:
La première opération au démarrage du système sera de répondre à toute une série de questions (1/ voulez vous mettre à jour les dépôts, 2/ Voulez vous mettre à jour votre système, 3/ je vais pas faire toute la liste, soyez attentifs…..)
La commande permettant de sélectionner une session (lorsque l’on tourne sans gestionnaire de session) est : $xwmconfig
Une des sessions proposée est openbox-session.
On va être clair, ce billet va plutôt intéresser des utilisateurs ayant certaines compétences avec Openbox et qui aimeraient faire joujou sur Slackware… Ou les curieux motivés Lire la suite →
En premier lieu, un petit constat personnel (tu peux avoir un avis divergeant, ce n’est qu’une sensation parmi tant d’autres…)
J’ai l’impression qu’on est entré dans un cycle de maturité dans l’univers GNU/Linux, en général.
On sent bien que le cycle actuel est celui de l’optimisation fonctionnelle et esthétique (sans parler des Firefox, VLC ou autres). Cela se ressent de façon assez remarquable avec Debian.
Un exemple:
Les environnements « grand public »(tels KDE-Plasma ou Gnome, et pas qu’eux) sont, dorénavant, stables après quelques mois/années de refonte et sont désormais partis pour durer sans grosses évolutions majeures. Enfin, je pense, étant donné le passif en la matière. Pour rappel, Gnome 2 est sorti dans sa première version (2.0) en Juin 2002, la dernière (2.32) a vu le jour en Septembre 2010. De même, en Janvier 2008 sortait la première version de KDE dans sa version 4.0. Cycle qui s’achève au mois d’Août 2014 avec un KDE 4.14 particulièrement abouti ( selon les utilisateurs de ce bureau dont je n’étais plus à l’époque).
Linux mint dans sa version 13 est le système que j’avais installé sur le Compaq de mon beau-frère.
Un Compaq Presario A900 Notebook PC, pour être précis, de 2008
Son premier (et seul) Gnu/Linux, en dual boot avec 7 de chez ‘Crosoft, a donc été Linux Mint 13 (en version 32 bits, c’est la seule image que j’avais sous la main à l’époque), arrivé en fin de vie en Mai 2017. Jamais de réels problèmes rencontrés, un petit dpkg –configure -a il ya quelques mois…. Comme quoi, même les non-geeks y arrivent
Néanmoins, il était temps de s’en occuper
Passer de la version 13 à la 18.2 s’est avéré….. Lire la suite →
Exit Plasma 5 sur Unstable, déjà présent sur Slackware
Après un bon nettoyage(DE + Dépendances), installation d’openbox (obconf,obmenu,tint2,Conky,etc…) et configuration (j’avais fait une sauvegarde des fichiers de configuration de Tint2 et Openbox lors de l’essai de diverses distributions (Vyperr, Chrunchbang++ ou OBRevenge). Je les réutilise)
Tout d’abord, je pense avoir vraiment trouvé ce que je cherchais dans le monde Gnu/linux. Je ne reviens pas sur mon parcours, la plupart des lecteurs de ce blog sont au courant. Le dernier mois a été source de cogitation pour ma part. J’ai abandonné Archlinux, j’ai tenté autre chose pour finalement me rendre compte que je n’ai pas besoin d’autres distributions que Slackware et Debian pour mon usage personnel. Du coup, je suis repassé en dual-boot et ai redimensionné ma partition :/DATA en lui rajoutant 32 Go supplémentaire d’espace libre (/ + /swap d’Archlinux)
Loin de moi l’idée de balancer le sempiternel » Mes distros sont les meilleures, le reste, ça pue ». Non, ce serait malhonnête intellectuellement et l’enrichissement que j’ai tiré de mes expériences Linuxiennes est un plus non-négligeable. Le truc, c’est que les autres systèmes d’exploitation ne me conviennent pas.
Certains m’ont posé la question du pourquoi s’être arrêté sur .. :
–Slackware?
Bonne question, j’ai mis énormément de temps à trouver une réponse à celle-ci. C’est une distribution que j’ai utilisé par intermittence pendant des années, avant de la fixer définitivement
1/ C’est ce qui se rapproche le plus de l’ Unix-Like à mes yeux. On y retrouve aussi la philosophie KISS, chère à Archlinux également. J’apprécie le fait de ne pas avoir d’outils graphiques pour configurer le système, je peux le faire par simples fichiers textes. Même si j’ai tâté du slapt-get (Gslapt, plus précisément, pour la gestion des paquets en mode graphique), je suis revenu aux outils basiques made in Slack et cela me va bien. Je préfère me servir de scripts ou configurer à la main, ce qui permet de comprendre ce que je fais, alors que des outils de configuration « user-friendly » ne m’apportent pas vraiment ce côté « contrôle absolu » que je recherche (ce qui est tout relatif, il m’est arrivé de me planter grave)
2/La stabilité est une condition essentielle aux yeux des utilisateurs de Slackware ( et surtout de ses développeurs) , au détriment de la fraîcheur. Je préfère un logiciel qui fonctionne avec robustesse qu’un logiciel qui aurait des défauts ou dont le but est de réinventer la roue. Alors même si j’utilise la version « Current », elle est bien plus stable et solide qu’une distribution « classique », aussi bien au niveau du système de base que des logiciels. Je n’hésite pas à la classer au niveau d’une Debian Stable de ce point de vue.
3/Le fonctionnement et la structure des logiciels inclus dans Slackware restent le plus proche possible de l’état dans lequel ils ont été publié. Je trouve que c’est une énorme marque de « respect » pour le travail fournit par ceux qui les ont développé. Et j’y suis sensible. Ce qui exclu de facto un développement intermédiaire ou des chiés de correctifs qui peuvent dénaturer le logiciel tel qu’il a été pensé.
4/ Une gestion des dépendances qui implique de mettre les mains dans le cambouis (spécialement dans le cas de l’installation de Slackbuilds). Déroutant dans les débuts puis on s’y fait.
5/ Le développeur principal de la distribution se fout de la popularité, ou du nombre de PC équipés, par son système d’exploitation et au final, il est le seul maître à bord. Slackware fait ce pour quoi elle est faite, chacun est maître de la construire comme il l’entend. La compréhension, l’apprentissage et la responsabilisation des utilisateurs sont mis en avant et je trouve que c’est une bonne chose Et si c’était cela la liberté?
6/ Une communauté bien cool pour ne pas gâcher les choses. Ce qui est de plus en plus rare dans les paniers de crabes actuels des distributions grand public, que je ne fréquente plus depuis des lustres.
-Debian?
Je ne vais pas en parler des heures. Parce que c’est Debian. Pour l’effort fait de fournir un système 100% Libre sans pénaliser ceux qui auraient besoin de logiciels propriétaires pour faire fonctionner leur système sur une machine nécessitant ces derniers, quid de la non-discrimination. Pour son contrat social. Pour sa version Unstable autant que sa version Stable. Pour son côté » je me tape la configuration en mode graphique ou pas », ce qui fait qu’elle convient autant à un débutant qu’à un curieux ou un utilisateur avancé. Parce que même si j’utilise la version Unstable (et qu’il m’arrive régulièrement de piocher dans le dépôt experimental), je n’ai jamais eu à faire à de gros problèmes mettant en péril la stabilité ou la cohérence du système d’exploitation et si un bug surgit, il ne met jamais bien longtemps avant d’être solutionné.
Pour résumer, ces 2 distributions correspondent parfaitement au Gnu/Linuxien que je suis et à l’idée que je me fais de l’informatique. Ce qui ne me donne en aucun cas le droit de juger (ou d’être jugé par) ceux qui ne peuvent pas les encadrer. Ce qui compte, c’est que l’outil que l’on utilise convienne à l’humain, dans toute sa diversité, qui se trouve derrière l’écran.
Pour répondre à l’autre question qui m’a été posé cette semaine( par une des personne que j’ai débarrassé de Microsoft et qui veux aller plus loin) pour la énième fois, j’ai une classification toute personnelle, et minimaliste, des systèmes indispensables au monde Gnu/Linux après ces années passées à triturer de la distro:
User-Friendly: ( en ne prenant en compte que de la simplicité d’installation et d’utilisation, la reconnaissance du matériel et la possibilité d’utilisation de logiciels non-libres. Des systèmes spécialement destinés aux migrants de la firme de Redmond )
Mint (Bien qu’il serait judicieux de faire un choix entre une base Debian ou une base Ubuntu), Mageia, Debian Stable (de préférence la DFLinux), Les « saveurs » d’Ubuntu (Xubuntu, Kubuntu, Ubuntu-MATE,etc…), Emmabuntus (basé sur Debian depuis peu) éventuellement une OpenSuse.
Je vois déjà venir le troll » Et pourquoi pas Ubuntu? Parce que tu la détestes »
C’est plus simple que ça, regarde le merdier actuel dans lequel se trouve cette distribution (abandon de MIR et d’Unity) . Pas besoin d’en dire plus. Canonical a pensé pouvoir faire cavalier seul face à l’écosystème GNU/Linux (alors qu’intrinsèquement, sa distribution y est liée de la tête aux chevilles : un « bondage » en bonne et due forme. Que son PDG le veuille ou pas) et concurrencer les OS proprio qui ont verrouillé le marché que cette entreprise visait. C’était perdu d’avance. Maintenant, il faut tout revoir. Ce qui n’est pas spécialement rassurant pour ses utilisateurs (du moins, pour l’instant). A voir le résultat que donnera la version 18.04 de l’Ubuntu-Gnome vampirisée
L’autre paramètre est l’utilisation de tel ou tel bureau…
Mais on s’en fout, l’important est qu’il convienne à l’utilisation et l’idée que se fait l’utilisateur d’une interface graphique. On nous offre la possibilité de choisir, c’est une option que les utilisateurs des systèmes propriétaires n’ont pas le luxe de connaître. C’est un terrain sur lequel, malgré mes préférences, je ne m’engage pas. Mes goûts ne sont pas ceux des autres (surtout lorsqu’ils sont débutants) et c’est très bien comme cela.
Intermédiaires: (plutôt destinés aux débutants curieux ou à ceux qui ont déjà prit l’habitude de mettre les mains dans le cambouis et auxquels le terminal ne fait pas peur )
Fedora, Manjaro (qui à mon avis va devoir faire face à l’installateur ArchAnywhere pour Archlinux), PCLinuxOS, Debian « Testing » ou « Unstable » éventuellement des trucs comme Frugalware, Slackel, etc…
Experts: (terme prétentieux, mais c’est la classification classique que l’on rencontre. On peut y inclure les systèmes geekesques , voir dans la partie exotiques)
Slackware, ArchLinux (l’originale) , Gentoo
100% Libre: (pour les puristes, et malgré les quelques extrémistes idéologiques qui squattent cette catégorie)
Debian (sans les dépôts contrib et non-free, par défaut donc) , Trisquel ou encore Parabola
Spécialisés:
Je considère que les distributions comme Ubuntu-Studio, Librazik, Scientific, Kali, Tails, SteamOS etc… répondent à des besoins spécifiques (Multimédia, MAO sécurité, serveur, éducation, etc…). plutôt destinées aux utilisateurs qui savent ce qu’ils veulent. Et il en existe une bonne pelleté. (Perso, j’ai toujours mon système Kiss0s sur une clé USB qui traîne dans ma poche quand je me déplace)
Exotiques:
Void, 0linux (au point mort me semble-t-il), LFS
Des distributions geekesques dont le fonctionnement (et la construction originale) rend leur existence légitime. Elles impliquent une certaine compréhension du fonctionnement de GNU/Linux et une bonne dose de persévérance. Idéales pour approfondir.
Recyclage:
Des distributions telles Antix, Toutou Linux, Puppy, Lubuntu ,etc… permettant de faire revivre de vieilles machines plutôt que de les balancer dans un déchetterie où elles auront le loisir de polluer les sols via leurs composants soumis aux intempéries
Conclusion personnelle
Voilà pour la liste des systèmes que je considère comme incontournables. Ce n’est pas pour autant que les autres distributions n’ont pas le droit d’exister comme le voudraient certains. Même si j’admets bien volontiers que les distributions basées sur Ubuntu sont bien trop nombreuses et n’apportent au final pas grand chose au schmilblick. Plus généralement, je pense que la loi de l’évolution s’applique également à l’informatique et a tendance à faire disparaître les distributions (et par extension, les logiciels) « inutiles », ce n’est qu’une question de temps. Faut laisser faire les choses, râler dans le vide après ces systèmes ne sert absolument à rien. S’ils existent, c’est qu’il y a des utilisateurs qui ont fait le choix de les utiliser (jusqu’au jour où ils trouvent mieux ou que la distro est abandonnée). Puis lorsqu’on prive les utilisateurs de Linux de la liberté de choix, on voit ce que cela donne (Guerre des init, plantage grossier des projets d’Ubuntu, guerre intra-communautaire, etc….) , puis ça part dans le fork compulsif (dispersion) et les invectives à tout va. Je dirais que c’est à ce niveau que ça pêche le plus, actuellement.
Voilà, je ne reviendrai pas sur le sujet, j’ai horreur d’avoir l’impression de me répéter. J’espère avoir cependant répondu aux questions (d’ailleurs merci à ces quelques personnes de me les avoir posé, ça m’a obligé à y réfléchir. C’est toujours bien de cogiter sur le pourquoi du comment) qui m’ont été soumises en restant le plus compréhensible possible.
Ce billet a été rédigé avec pour fond sonore l’album « Duality » de « Die Form »
Je suis les aventures d’Arpinux (Gestateur d’Handy-Linux & DFLinux) depuis quelques temps.
Kiss0s est basée sur Debian 8, Fluxbox pour l’interface graphique
Arpinux est le mieux placé pour parler de cette Debian pour geek via son blog
Je vous laisse fouiller chez lui (parce que c’est sympa) si l’iso vous intéresse. 🙂
Je ne parlerai donc que des modifications que j’ai faites ( j’envisage de la passer en Testing, pour pouvoir libérer une partition sur cette machine ), sans entrer dans les détails. Ceux là, j’y reviendrai dans un futur billet 😀
Ajout du dépôt non-free pour intel-microde & broadcom-wl dans /etc/apt/sources.list
(Donnez moi un fouet, que je m’auto-punisse)
Remplacement de Wicd par Network-Manager
Installation d’Openshot, synaptic, VLC et mon petit moc préféré
Re-découverte sur la vidéo, ça fait longtemps que je n’ai pas manipulé Fluxbox, ca se voit.
Rien de spécial à signaler, je vais me la cuisiner aux petits oignons dans les jours qui viennent
Une grosse appli niveau ressource – TorBrowser. Le reste fait dans la légèreté
En attendant, si vous êtes adepte du minimalisme bien configuré et stable,et/ou qu’un vieux coucou traîne dans votre bordel organisé, cette Debian « geekesque » est pour vous
J’ai ressorti un bon vieux The Young Gods pour la vidéo « Donnez les esprits » -Album : « Only Heaven » N’hésitez pas à la mater en HD
Un peu de lecture pour ceux qui auraient voyagé dans les coins de Saturne ces derniers mois
Je passe l’installation, c’est enfantin. Vous trouverez toute l’aide requise dans les cahiers du débutant
Au redémarrage, j’ai configuré un peu l’ensemble à ma sauce en gardant l’essentiel des outils HandyLinux qui ont été ajouté à cette Debian Jessie ( juste que le vieux barbu tendance ermite que je suis a du mal à s’adapter à la simplification, mais c’est pour la bonne cause)
Il est essentiel de préciser qu’il est inutile de configurer (matériellement parlant) quoi que ce soit au 1er démarrage, les firmwares gérants les composants sont présents d’entrée de jeu. Ce qui est vraiment une très bonne chose pour les grands débutants. Ils n’auront pas à se soucier de ce genre de choses pour commencer dans le monde Debian GNU/Linux
Wifi disponible
Installation de VLC et d’Openshot ( En mode terminal, mais n’ayez pas peur, c’est spécifique au guguss barbu qui traîne derrière cette machine. Habitudes, habitudes)
Un détail que j’ai adoré: la présence des modules, par défaut, uBlockOrigin et HttpsEveryWhere dans Firefox
Le mieux est encore de la découvrir (rapidement ) en vidéo 🙂
Le curseur « souris » n’a pas été capturé, pas de panique, il est bien présent à l’utilisation
(Je ferai une autre vidéo au moment d’explorer plus en profondeur ce système d’exploitation: installation d’imprimante, installation de logiciels via synaptic, etc…)
Précision: on m’a demandé pourquoi je ne faisais pas de vidéo avec ma webcam branchée quand je présente une distribution
1/ Je ne tiens pas à voir ma tronche en vidéo, ni à ce que vous la voyez. Je ne suis pas exhibitionniste et je n’ai pas assez d’ego pour le faire 🙂
2/J’ai la voix d’un canard qui aurait bouffé le chanteur de Lofofora, mais en mode volume minimum. Donc inaudible. Je préfère vous mettre des trucs plus ou moins barrés en bande-son
3/ Je peux être très vulgaire quand ça me prend la tête, je préfère marmonner dans ma barbe ces joyeusetés extrêmophiles