Fut une époque où j’ai laissé tomber les slackbuilds, préférant ajouter des dépôts tiers via slackpkg+
Cette méthode m’ a surtout été utile lors des gros travaux d’intérieur entre la version 14.2 et 15
Je ne l’ai pas reconduite après le crash de ma machine.
Rappel Important: Rien ne gère les dépendances des paquets dans Slackware, si ce n’est le barbu (dans l’esprit, on peut être imberbe, ça marche aussi) situé entre le clavier et la chaise.
Du coup, c’est parti.
On télécharge sbopkg
Je me déplace dans /home/user(ton nom d’utilisateur)/Downloads
Il ne restait plus qu’à laisser démarrer le système dans le billet précédent.
Premier contact avec le bootloader Lilo (elilo pour les machines avec UEFI embarqué)
Voilà, on se retrouve devant la demande d’identification.
Il n’y a que l’utilisateur root qui a été créé jusqu’à présent.
Rappel:
Il est STRICTEMENT déconseillé (et pour être plus strict, je dirai INTERDIT) de rester connecté en ROOT sur une machine, cliente comme serveur.
Root est l’administrateur du système. Il ne sert qu’à apporter des modifications aux fichiers systèmes ou administrer une machine.
L’utilisateur n’a pas accès aux fichiers systèmes et c’est lui qui doit être utilisé au quotidien. Je le répète on ne reste JAMAIS connecté avec ROOT (ce message s’adresse surtout aux utilisateurs plus ou moins novices. Les users avertis, et administrateurs systèmes, étant nécessairement au courant de cette règle)
Je conseille le DVD d’installation ( par prudence, on n’est jamais à l’abri d’une panne de réseau, n’est ce pas ? )
J’utilise VmWare pour ce qui est de la machine virtuelle (sur un portable équipé d’un I5 et de 8 Go de ram, avec les mêmes OS que le fixe: Slackware, Fedora et Debian), à l’heure où le jour n’est pas encore levé et où Madame s’apprête à débuter son week-end en horaires dit « coupés ».
Un café, un accompagnement musical paisible et feu. (je ne fais pas ça d’une traite non plus, alors ne faites pas attention aux heures affichées. Il faut compter 20 minutes avec une machine récente pour l’installation initiale)
On lance l’Iso
La première chose à faire est de choisir la disposition du clavier
On teste, on valide (si c’est déjà trop old-school pour vous, pas la peine d’aller plus loin ^^)
Je n’ai pas retenté d’installation Gnome sur Slackware64 depuis longtemps. On passait par Dropline Gnome et c’était plutôt stable. Je trouve malheureusement que ce projet qui facilitait la mise en place de ce DE à l’air à l’arrêt ou du moins en stand-by
En furetant sur GitHub, j’ai trouvé un probable remplaçant à Dropline, le slackport gfs. Essayons.
Current est désormais épinglée comme la version 15
On va télécharger les paquets du bureau Gnome, en tant qu’utilisateur, que l’on va retrouver dans le dossier gfs-40.2-pkg64)
Message renvoyé après l’exécution de grub-mkconfig -o /boot/grub/grub.cfg
Il est donc clair que Grub n’ajoutera pas les autres entrées (debian et fedora pour ma part) au chargeur de démarrage, ennuyeux lorsqu’on tourne en multiboot..
Grub n’a tout simplement pas l’autorisation par défaut de communiquer avec Os-Prober
Pour corriger cela, il suffit d’ajouter la ligne GRUB_DISABLE_OS_PROBER= »false » à la fin du fichier /etc/default/grub
Et c’est en exécutant à nouveau la commande grub-mkconfig -o /boot/grub/grub.cfg que je m’aperçois que tout est entré dans l’ordre mais que, comme un con, je n’ai toujours pas viré elilo. Chose que j’vais régler dans l’instant :p
Ce matin, je suis plutôt ambiance électronique/expérimental tendance sombre mais zen. Du coup, je suis accompagné par la B.O. de « Blade Runner 2049 » de Hans Zimmer & Benjamin Wallfisch
La période de Freeze « Hard » de la version testing (la future stable « Bullseye » ) approchant à grands pas, on commence à le ressentir sur Sid (de moins en moins de mises à jour).
Je ne tourne qu’avec un Plasma minimal, les logiciels indispensables pour ma vie d’utilisateur classique (les travaux « autres » se passent essentiellement sur Fedora) et les paquets Nakedeb de l’ami Arpinux pour le reste (Fluxbox). Même si j’avoue y passer de moins en moins de temps.
Le dépôt dédié à KDE Plasma (Ktown) de Eric « alienBob » Hameleers a été intégré par Patrick Volkerding à Slackware-Current via le dépôt testing (vtown).
J’avais parié sur cette solution quelques mois auparavant (c’est ce qui me semblait le plus cohérent, le travail d’intégration étant fait pour l’essentiel)
Je teste le 2ème cas .
Si, comme moi, ça fait des lunes (Mars 2017) que vous utilisez ktown, il va falloir faire la migration entre les 2 sources.
On édite ensuite le fichier /etc/slackpkg/slackpkgplus.conf (c’est là que j’avaisajouté le dépôt ktown à l’époque). On commente (désactive) les lignes mentionnant « ktown » et au niveau de l’option PKGS_PRIORITY, on ajoute testing:vtown (dans le cas contraire, la réinstallation de KDE4 vous est proposée en lieu est place de Plasma. D’où la priorité accordée au dépôt testing)
#slackpkg install vtown
#slackpkg upgrade vtown
(KDE-Full desktop. Vous pouvez néanmoins désélectionner les paquets dont vous n’avaient pas besoin avant de valider l’installation, comme les jeux ou éducation par exemple, à condition de connaître KDE. Café n°2)
C’est donc ce matin que j’apprends la nouvelle en faisant ma màj ( en sachant que la fréquence de mises à jour sur la version Current est environ de 2 jours) par la commande suivante