Avant de prendre mon nouveau poste, j’ai quelques jours de battement.
Le temps de mettre en place le(s) serveur(s), j’vais certainement publier quelques billets pendant ce temps (et ça va me servir à remettre les choses en place, par la même occasion, après 11 mois de Microsoft Windows) …
Le temps de l’inévitable séance d’installation, je me replonge dans mes classiques. Et comme je suis dans une période où j’écoute (et je fais) pas mal de musique électronique, ça me donne l’occasion de revenir sur ce « Biomechanik 2 » de Manu le Malin, le seul DJ de Techno Hardcore que j’écoute encore, 20 ans après (Le Hardcore n’est pas mon style préféré dans ce genre et je m’en suis vite écarté, à l’exception de ce gars.)
A l’époque, accroche immédiate, certainement l’ambiance de fond de cette Compilation, très industrielle. J’apprécie également la construction progressive et de plus en plus agressive du son .
Fut une époque où j’ai laissé tomber les slackbuilds, préférant ajouter des dépôts tiers via slackpkg+
Cette méthode m’ a surtout été utile lors des gros travaux d’intérieur entre la version 14.2 et 15
Je ne l’ai pas reconduite après le crash de ma machine.
Rappel Important: Rien ne gère les dépendances des paquets dans Slackware, si ce n’est le barbu (dans l’esprit, on peut être imberbe, ça marche aussi) situé entre le clavier et la chaise.
Du coup, c’est parti.
On télécharge sbopkg
Je me déplace dans /home/user(ton nom d’utilisateur)/Downloads
Pour ceux qui aiment la simplicité de Linux Mint mais qui ne veulent pas d’Ubuntu comme base, la version BETA de la LMDE5 est sortie, basée sur Debian 11
Installation effectuée dans un virtualiseur Qemu/KVM sans aucun problème. J’y reviendrai sûrement ce week end.
Comme je l’ai déjà signalé sur ce blog, je n’ai pas acheté de machines neuves depuis 25 ans, sauf une sombre crotte de chez Schneider (pas chère et j’ai vite compris pourquoi), j’ai toujours privilégié le reconditionnement.
Hier, Défaillance de la carte mère de la machine fixe alors que je préparais le 3 ème volet sur Slackware.
Le temps de récupérer la totalité de mes données et de voir ce qu’il y a à sauver niveau matériel…
Ce sont des choses qui arrivent.
Désolé pour les personnes qui attendaient ce billet…
(Un billet qui traînait dans mes brouillons WP et comme je l’écoute souvent en ce moment
, je me dis que c’est l’occasion.)
Un album qui revient inlassablement dans mes oreilles
Tout le monde connaît le classique « Aux sombres Héros », amalgamé à une chanson de marins de taverne (alors que c’est loin d’être le cas), et le grand public n’a probablement retenu que ce titre. Cette galette est bien plus que ça.
Que ce soit les guitares nerveuses au son clair et saturé sur certains morceaux (« La chaleur », » Les écorchés » ou » à l’arrière des taxis »)…
….d’autres plus calmes, mais tout aussi envoûtants musicalement (« Joey 1 & 2 », « Sweet Mary », « Le fleuve »).
Sans parler de « The Wound » ou « Le fleuve », bien torturés.
Et lorsque la musique et les textes (sombres, poétiques, dénués de sens militant ou tout simplement beaux ) se rencontrent, ça donne « Veuillez rendre l’âme (à qui elle appartient) »
Le petit plus, c’est que j’ai appris la guitare avec, entre autres, cet album. Puis le chant bien plus tard.
Forcément, ça reste.
Je vous colle le 3ème billet sur Slackware ce week, pour ceux que ça intéresse.