Openbox, c’est cool, j’apprécie beaucoup. Mais je lui préfère pekwm
J’ai découvert ce wm en m’amusant avec Kiss0s. Je continue à apprendre son fonctionnement, il y a certains recoins qui me paraissent encore bien obscurs. Toujours sur Kiss0s, bien sûr. Et sur Slackware depuis ce matin.
Il neige, ça pince… Du coup, ça Geek de façon compulsive
Installer pekwm
#sbopkg -i pekwm
#sbopkg -i peksystray
#sbopkg -i ranger
$xwmconfig
(Ne vous fiez pas à cette liste, je vais virer Lumina, Fluxbox ou encore blackbox)
J’ai copié pas mal de fichiers de conf., wallpaper ou thèmes de la Kiss0s (sur le même disque dur) afin de compléter ceux de la Slack : Lire la suite →
La commande permettant de sélectionner une session (lorsque l’on tourne sans gestionnaire de session) est : $xwmconfig
Une des sessions proposée est openbox-session.
On va être clair, ce billet va plutôt intéresser des utilisateurs ayant certaines compétences avec Openbox et qui aimeraient faire joujou sur Slackware… Ou les curieux motivés Lire la suite →
En premier lieu, un petit constat personnel (tu peux avoir un avis divergeant, ce n’est qu’une sensation parmi tant d’autres…)
J’ai l’impression qu’on est entré dans un cycle de maturité dans l’univers GNU/Linux, en général.
On sent bien que le cycle actuel est celui de l’optimisation fonctionnelle et esthétique (sans parler des Firefox, VLC ou autres). Cela se ressent de façon assez remarquable avec Debian.
Un exemple:
Les environnements « grand public »(tels KDE-Plasma ou Gnome, et pas qu’eux) sont, dorénavant, stables après quelques mois/années de refonte et sont désormais partis pour durer sans grosses évolutions majeures. Enfin, je pense, étant donné le passif en la matière. Pour rappel, Gnome 2 est sorti dans sa première version (2.0) en Juin 2002, la dernière (2.32) a vu le jour en Septembre 2010. De même, en Janvier 2008 sortait la première version de KDE dans sa version 4.0. Cycle qui s’achève au mois d’Août 2014 avec un KDE 4.14 particulièrement abouti ( selon les utilisateurs de ce bureau dont je n’étais plus à l’époque).
J’ai envie de vous faire partager mon expérience de Slacker. Configuration de périphériques, installation de paquets, configuration, édition de fichiers, etc…. D’où le titre.. Sujet clos
Comme je le prédisais au mois de Septembre, ma machine principale a lâché, du moins la carte mère et, par extension, le circuit graphique AMD, le tout dans un fracas de silicium… Non, je déconne
Bref, heureusement pas de pb sur le disque dur, je l’ai intégré au Dell Inspiron 1525. Dans mon malheur, j’ai eu la bonne intuition en me focalisant au fil des mois sur le NoDE, ça suffit pour les 2go de ram de la bête…
Pour les Debian (testing et Sid), ça s’est bien ficelé.. J’ai viré les firmwares concernant les composants AMD pour les remplacer par ceux dédiés à Intel..( ouais, ben j’ai pas le choix, je suis limite niveau puissance)
Par contre, pour Slackware, ça s’est moins bien goupillé. Lire la suite →
Petit résumé vite fait avant d’entrer dans les détails au prochain billet ( plus spécifiquement le bureau Cinnamon et les logiciels présents)
Je suis donc sur la phase de test de cette version18.2 de Linux Mint (C’est la version vers laquelle je vais devoir, ou pas, faire migrer (ou le faire moi-même selon les cas) les utilisateurs à qui j’ai installé cette distribution). Et j’avoue que je reste sceptique vis à vis de l’utilisation du noyau Linux 4.8.xxx (même si la base est Ubuntu LTS 16.04.2 ). Alors certes, c’est la première fois que j’arrive à lancer un noyau de cette génération sur mon Inspiron sans que cela ne me fasse un kernel panic (Intel), certainement grâce à la chiée de correctifs qui a inévitablement été pondu par et pour Ubuntu, pas pour autant que je suis convaincu. La pertinence aurait été l’inclusion « d’urgence » d’un kernel de la série 4.9.xxx.
Pour ce qui est de Mint, j’ai encore plus tendance Lire la suite →
Une fois le live DVD (ou USB dans mon cas) lancé (en anglais), la première chose est de faire un tour du côté de « System settings » et de basculer sur un clavier FR, pour plus de facilité ( en Azerty donc, plus pratique pour rentrer une clé WPA2 pour ceux qui ne connaissent pas de mémoire les correspondances avec le clavier Qwerty)
Première chose qui me saute aux yeux: la présence du zombiesque noyau de la série 4.8. Normal, cette version de Mint est basée sur Ubuntu 16.04 LTS
Sauf que les dernières fois que j’ai eu à faire à cette série kernel (peu importe la distribution) , après le reboot post-install, mon Inspiron (Intel) était en panique, kernel panic
C’est en faisant un tour sur Distrowatch, en milieu de semaine, que j’ai fait connaissance avec cette distribution
Une Archlinux sous Openbox tendance « user-friendly » (même s’il y a des iso avec MATE & KDE disponibles)
Cela peut-être intéressant pour un débutant ayant une bécane aux performances limitées. Tout est fait, visiblement, pour une expérience utilisateur ultra-simplifiée de ce gestionnaire de Fenêtres. Pas besoin d’éditer le menu d’openbox par exemple, cela est fait automatiquement. Côté système, une administration en mode graphique, avec par exemple Pamac pour la gestion des logiciels et comme toutes distributions pour débutants, les firmwares sont installés par défaut ( firmwares) .
La petite guerre intestine chez Debian, concernant le choix de l’init systemd par défaut, a donné naissance à ce fork nommé Devuan. Avec sysVinit en lieu et place de systemd.
Pourquoi pas?
J’m’accorde sur le fait que le bouchon a été poussé un peu loin entre les pro et anti-systemd. Mais, dans la vraie vie, lorsque qu’un couple ne s’entend plus, vaut mieux qu’il se sépare plutôt que de continuer ensemble avec pour principal moteur la rancœur, dans une ambiance à faire mourir les cafards … Je pense que cela vaut aussi dans ce genre de situation.
Je peux comprendre les 2 partis techniquement Lire la suite →
Ce soir, y a un trader qui parle avec cohèrence de son programme destructeur et une folle qui vomit le néant comme un trou noir avale la lumière. il est temps de faire un billet de globe blog (putain, j’en perds mon français ) ou j’vais bruler la téloch’
Les mises à jour continuent gentillement, ni plus, ni moins.
Openbox:
Un gestionnaire de fenêtre ultra-léger, que l’on peut configurer facilement grâce à des logiciels comme obmenu et obconf (beaucoup de doc disponible sur le Net). Je reviens lentement au no-DE, cela convient aux moments où j’ai besoin des ressources système. C’est sobre, ça envoie du pâté, c’est simple une fois que l’on a prit la chose en main.
J’ai installé Tint2 plutôt que Lxpanel pour la barre de tâche. j’ai chopé la configuration sur le net, la voici :
# Launcher launcher_padding = 8 4 4 launcher_background_id = 0 launcher_icon_size = 24 # Specify icon theme names with launcher_icon_theme. # if you have an XSETTINGS manager running (like xfsettingsd), tint2 will follow your current theme. launcher_icon_theme = gnome-colors-statler # Each launcher_item_app must be a full path to a .desktop file launcher_item_app = /usr/share/applications/terminator.desktop launcher_item_app = /usr/share/applications/xfce4-file-manager.desktop launcher_item_app = /usr/share/applications/gedit.desktop launcher_item_app = /usr/share/applications/firefox.desktop
${voffset 80} ${font Ubuntu:size=7,weight:bold}${color}CPU ${font Ubuntu:size=7,weight:normal}${color1}${top name 1}${alignr}${top cpu 1}% ${font Ubuntu:size=7,weight:normal}${color2}${top name 2}${alignr}${top cpu 2}% ${font Ubuntu:size=7,weight:normal}${color3}${top name 3}${alignr}${top cpu 3}% ${goto 90}${cpugraph 10,100 666666 666666} ${voffset -10}${font Ubuntu:size=7,weight:normal}${color}${threads} process
${voffset 20} ${font Ubuntu:size=7,weight:bold}${color}MEM ${font Ubuntu:size=7,weight:normal}${color1}${top_mem name 1}${alignr}${top_mem mem 1}% ${font Ubuntu:size=7,weight:normal}${color2}${top_mem name 2}${alignr}${top_mem mem 2}% ${font Ubuntu:size=7,weight:normal}${color3}${top_mem name 3}${alignr}${top_mem mem 3}%
NOTE:Vous trouverez le logo sur le net : debian-logo-icone-3839-128.png
Voilà, c’était le billet de milieu de semaine. Il a été rédigé avec comme ambiance l’album « Speech of Freedom » du groupe « Black Bomb A ». La soirée si prête.
J’ai connu Sidux , puis Aptosid – dont la dernière image dispo date de 2013 . Puis on a Siduction.
Comme son nom l’indique, elle est basée sur Debian Unstable (Sid), une des distribution de mon quotidien depuis maintenant de nombreuses années. Donc, un système en mode Rolling depuis bientôt 11 ans ( la première Sidux étant apparu en Septembre 2006 et Siduction en étant la « fille »….), ce qui, niveau crédibilité, n’est pas négligeable.
Je me suis longtemps posé la question de son utilité, puisqu’on peut facilement s’installer une Sid par soi-même. A part l’administration rationnelle des paquets par une équipe, je ne vois pas trop… Mais bon, c’est toujours mieux qu’une Ubuntu (Basé sur Sid également, les bugs en plus)
Pas de version 32 bits pour cause d’abandon de cette architecture.
Cette version de Siduction se prénomme donc Patience – dont tout utilisateur d’Unstable doit faire preuve en cette période de gel de Stretch.
J’ai fait dans l’original, j’ai téléchargé la version Cinnamon.
Installation
L’installation se fait avec Calamares, vous pouvez choisir votre langue au démarrage du live
Le dock, en haut, me perturbe. Je le virerai au premier démarrage
,
La présence des firmwares facilite les choses (pour le réseau spécialement)
On reboote à la fin
Au premier démarrage, j’ai viré Plank de la liste des logiciels à démarrer automatiquement, appliqué les mises à jour en mode console (pas de synaptic, ni d’applet, ce qui me convient)
Un petit apt-get update && apt-get upgrade en mode super-utilisateur ( faudra que je mette sudo en place) pour appliquer les 501 mises à jour
Tout va bien au reboot, avec un kernel 4.10 (que je dois piocher dans experimental sur ma Sid) et un Cinnamon plutôt récent.
Je reviendrai sur cette distribution dans le courant de la semaine