Slackware-Current: Gnome 4* via Sbopkg

Prérequis: sbopkg installé

Je ne vais pas pomper de la doc existante, tout est là

Je me suis amusé un peu là dessus dimanche, y’en a pour 2/3 bonnes heures à compiler le truc, j’ai laissé tourné la soupe comme une grande, vu le mal de crâne que j’ai promené pendant 1 semaine…

Je vous conseille la version basique, d’après ce que j’ai lu un peu partout, y’a des erreurs de compilation sur le .all

Suivre scrupuleusement les étapes

Une fois l’install’ finie, un petit

#sbopkg -i avahi (qui ne se compilera qu'après l'installation de Gnome)

Visiblement, GDM est plutôt bien supporté aujourd’hui sur Slackware, mais je préfère mon vieux runlevel 3.

Bon , ben ça tourne (première fois que je teste, pas eu le courage après l’installation)

Tiens, ce soir, dans les oreilles, c’est « Axis Mix » de Jeff Mills, ça relaxe


Slackware64-Current (15): Installation de GNOME 40.2 via le port gfs

Je n’ai pas retenté d’installation Gnome sur Slackware64 depuis longtemps. On passait par Dropline Gnome et c’était plutôt stable. Je trouve malheureusement que ce projet qui facilitait la mise en place de ce DE à l’air à l’arrêt ou du moins en stand-by

En furetant sur GitHub, j’ai trouvé un probable remplaçant à Dropline, le slackport gfs. Essayons.

Current est désormais épinglée comme la version 15

On va télécharger les paquets du bureau Gnome, en tant qu’utilisateur, que l’on va retrouver dans le dossier gfs-40.2-pkg64)

$lftp -c mirror "http://slackware.uk/gfs/gfs-40.2/pkg64" -c gfs-40.2-pkg64

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Fedora 34 Workstation (Beta):Le Gnome nouveau arrive

Je reviendrai sur cette nouvelle version de Fedora qui se prépare plus tard

Non, j’ai téléchargé et fait tourner cet OS pour une seule et bonne raison. Je voulais voir avec quoi les utilisateurs de Gnome allaient devoir composer d’ici peu de temps (j’en ai 2/3 dans la nature)
Je crois qu’il va falloir sérieusement changer vos habitudes.
Je persiste à penser que cet environnement peut être particulièrement intéressant pour les machines à écran tactile.
Je n’ai pas d’avis à proprement dit, vu que je n’utilise pas ce type d’écran et que je trouve toujours la consommation de ressources bien supérieure à d’autres DE (on ne va pas mettre le #NoDE dans la balance)

J’ai fait quelques captures, vous aurez un avant goût

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Commentaires fermés sur Fedora 34 Workstation (Beta):Le Gnome nouveau arrive Publié dans Actualité, Fedora, Gnome

Serveur: Red Hat 8 – Installation

On ne va pas revenir sur la politique de Red Hat envers CentOS, tout a été dit (surtout par les non-utilisateurs de ces 2 systèmes). Certes, la nouvelle a été brutale, mais la décision, bien que discutable sur bon nombre de points, est prise.
A titre personnel, je sais que la maitrise de Red Hat (ou distributions basées sur Red Hat)  sera un atout dans mon CV. Depuis Février de cette année, un particulier ou une petite entreprise/ infrastructure peuvent avoir accès gratuitement, via un compte Red Hat, à une licence d’ 1 an renouvelable pour 16 serveurs de production.

On verra par la suite si les solutions de remplacement (et en cours de dev) de CentOs (forks) tiennent la route.

Une fois le compte créé, j’ai donc téléchargé l’image d’installation par le réseau de Red Hat 8 et l’installation se fait, pour tests et apprentissage, sur une machine virtuelle VmWare 16 (installée sur Fedora)

Pour mettre les points sur les i de suite aux Grands Manitous Libristes, je réponds à :

« Pourquoi Vmware? ».

-C’est ce que tu trouveras en entreprise, entre autres solutions de virtualisation.

-VirtualBox et Qemu ont des lacunes. VirtualBox, ce n’est plus ce que c’était et la solution a mal vieilli. Qemu & lib-virt, c’est top mais à partir du moment où je vais intégrer du PfSense dans le réseau virtuel, c’est la foire. Dommage. (Par contre, pour virtualiser MacOsX, c’est top 🙂  )

Donc je prend ce qu’il y a de plus raisonnable et pro à ce niveau.

1/ Mise à jour des modules pour Vmware après mise à jour du noyau de Fedora

On lance VmWare. Si les modules sont à mettre à jour, le logiciel vous le fait savoir, vous demande votre mdp admin et compile les modules pour vous.

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Debian: SparkyLinux

Mauvaise nouvelle pour moi. En voulant terminer le billet sur Debian et KDE/Plasma Dimanche matin, je me suis aperçu que je ne pouvais plus booter sur l’OS. J’ai 2 solutions : La vieillesse du DD, qui avait déjà donné des signes de faiblesses, ou un pb de connectique… Je regarderai ça quand j’aurai le temps..

Sinon,  avec la partition libre sur le portable (40 Go sur 500 dispos), j’ai claqué Sparky Linux, version Dev,  à côté de Void et Slackware

Je dois avouer que je ne connaissais pas cette distro, jamais testé, si ce n’est en virtuel…

Et tester une distro sur machine virtuelle pour donner son avis, c’est un peu comme si je demandais à un vendeur de cycle de me permettre de tester un vélo  avant achat, que je faisais 500 mètres avec et que je disais au mec après coup: « C’est de la merde parce qu’il est bleu, je ne le prends pas »…

Un jugement biaisé et sans intérêt, à part peut être si le but est de prouver au vendeur que vous êtes réellement bancal de la boite à neurones….

Non, rien ne vaut les tests en dur et sur la durée…

Définitivement.

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Void Linux: finalisation et 1ère impression

Après quelques jours d’utilisation, je commence à me sentir à l’aise avec cette distribution

Je n’ai pas encore fait le tour de toutes les possibilités, mais on verra cela au fur et à mesure

Après avoir installé et configuré Openbox, j’ai viré Gnome et Cinnamon

$ sudo xbps-remove -R gnome

$sudo xbps-remove -R cinnamon && sudo xbps-install network-manager-applet

Virer Cinnamon et ses composants implique le retrait de network-manager-applet
que je réinstalle dans la foulée.

Je nettoie le tout (paquets orphelins + cache)

$ sudo xbps-remove -Oo

J’ai envie néanmoins d’un DE en parallèle d’Openbox

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Void Linux: premier démarrage

L’installation a été réalisé avec l’image live Cinnamon de Void Linux (un Cinnamon réduit à la plus simple expression incluant Firefox, et c’est tout)

Après installation( 10 minutes, même pas), nous allons nous servir du gestionnaire de paquets maison, xbps, pour mettre tout cela à jour après le 1er démarrage

$sudo xbps-install -Su

Le système se met à jour

On redémarre après coup

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Debian: Unstable très… stable

Ça fait bien longtemps que je n’ai pas parlé de Debian…

Pourquoi???

Parce que disons que même sur la version unstable de la distribution, le système est d’une stabilité peu commune alors qu’il est censé être… en mise à jour permanente.

Alors, un point rapide

-Le noyau en version 4.15 est remplacé par la version 4.16.5-1 (4.16.0-1 pour la numérotation de Debian) ce jour même. Alors qu’avant, j’étais toujours méfiant par rapport à ce genre de changement, aujourd’hui, ça passe comme une lettre à la poste… ( headers, dkms, etc…)

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Débutants : Ubuntu 18.04LTS (Gnome) – Le bureau Gnome

Je profite de cette série de nuits d’insomnies pour m’y coller. En plus, ça m’arrange, il fait vraiment trop beau pour passer sa vie sur un PC en journée…

Ubuntu a donc laisser tomber Unity ( ainsi que son successeur Unity8). J’ai vu qu’il existe des petits groupes de personnes qui essaient de maintenir en vie ces projets. Combien de temps cela sera-t-il possible??? Mystère…

Ubuntu est livrée, à partir de cette version 18.04, avec le bureau Gnome configuré à la sauce Canonical, ce qui, au final, a peu d’incidence sur l’expérience utilisateur par rapport à la version non-customisée du bureau (que l’on trouve sur Fedora ou Debian, par exemple). La seule différence visuelle étant la présence du Dock par défaut

A noter que la version de Gnome est la 3.28

Rien de bien pertinent dans ce billet, c’est plus un complément du billet précédent..

Vue rapide:

Le bureau inactif

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