On ne va pas revenir sur la politique de Red Hat envers CentOS, tout a été dit (surtout par les non-utilisateurs de ces 2 systèmes). Certes, la nouvelle a été brutale, mais la décision, bien que discutable sur bon nombre de points, est prise.
A titre personnel, je sais que la maitrise de Red Hat (ou distributions basées sur Red Hat) sera un atout dans mon CV. Depuis Février de cette année, un particulier ou une petite entreprise/ infrastructure peuvent avoir accès gratuitement, via un compte Red Hat, à une licence d’ 1 an renouvelable pour 16 serveurs de production.
On verra par la suite si les solutions de remplacement (et en cours de dev) de CentOs (forks) tiennent la route.
Une fois le compte créé, j’ai donc téléchargé l’image d’installation par le réseau de Red Hat 8 et l’installation se fait, pour tests et apprentissage, sur une machine virtuelle VmWare 16 (installée sur Fedora)
Pour mettre les points sur les i de suite aux Grands Manitous Libristes, je réponds à :
« Pourquoi Vmware? ».
-C’est ce que tu trouveras en entreprise, entre autres solutions de virtualisation.
-VirtualBox et Qemu ont des lacunes. VirtualBox, ce n’est plus ce que c’était et la solution a mal vieilli. Qemu & lib-virt, c’est top mais à partir du moment où je vais intégrer du PfSense dans le réseau virtuel, c’est la foire. Dommage. (Par contre, pour virtualiser MacOsX, c’est top 🙂 )
Donc je prend ce qu’il y a de plus raisonnable et pro à ce niveau.
1/ Mise à jour des modules pour Vmware après mise à jour du noyau de Fedora
On lance VmWare. Si les modules sont à mettre à jour, le logiciel vous le fait savoir, vous demande votre mdp admin et compile les modules pour vous.
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