Raspberry Pi : Retropie

Retropie est une distribution basée sur Raspbian permettant de transformer un pi en console de jeux retrogaming

Je ne vais pas faire un billet pour l’installation, tout est ici et comme j’ai toujours horreur de reprendre ce qui est déjà existant à mon compte….

Le résultat est convaincant, j’ai testé quelques roms pour voir (NES, SuperNes, Megadrive ou encore NeoGeo).
Vous pouvez utiliser une manette générique ou, mieux, celle d’une PS3 (après quelques manipulations)

 

PfSense: Snort, détection d’intrusion.

Nous avons eu un cours sur Snort lors de la formation Technicien Supérieur Systèmes et Réseaux

Pour notre projet en commun, c’est Brian T. qui a mis en place Snort et rédigé la documentation sur cette fonctionnalité importante et essentielle de PfSense pour la détection d’ intrusions

On installe Snort  depuis le gestionnaire de paquets de PfSense

On recherche Snort dans le gestionnaire de paquets


Cliquez sur ‘Installer’ puis ‘Confirmer’

une fois l’opération effectuée, on se rend dans Snort depuis le menu ‘Services’

On choisit Global Settings. Mais il nous faut tout d’abord  un Oinkcode.

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Schneider SCL141CTP: Linuxium « Lubuntu 20.04 » ,virer Snap et d’autres trucs

Me revoilà à cogiter vite fait sur cet engin . Je refais le test avec une Debian « testing » (iso non-free avec noyau 5.6.xxx), tout se passe bien mais je ne sais pas pourquoi, et je n’ai vraiment pas de temps à y consacrer, le bios/uefi 32 bits du zinzin refuse strictement (et j’ai tout essayé) de donner la main à Debian au démarrage (ce n’est pas la première fois)…
Au passage, si un geek à une solution, je suis preneur.

Bon, nous disions donc…
A l’instant -t, seuls 2 systèmes semblent pouvoir s’installer sans problèmes sur ce type de machine:

– Fedora, spins(KDE, XFCE, etc…)et spécifiques (Lab, musique,etc..)…

-Ubuntu via Linuxium (qui livre des isos d’ubuntu LTS avec efi32ia n’d’dans. Ouais, j’ai pas le temps n’ont plus de faire ce genre de trucs). Et, pour cette version 20.04 LTS, le monsieur a eu la généreuse initiative de livrer également,et spécialement, pour les machines à processeurs Atom, une Lubuntu, en plus de l’Ubuntu ..

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Debian(sid) : installer Cisco Packet Tracer 7.3

[Avertissement]:

Sur Debian Stable, le paquet en .deb  récupéré sur Netacad.com suffit, puisque les dépendances sont présentent, ce qui n’est pas le cas pour les versions Testing et Unstable. Cependant, s’il ne se lance pas (on ne sait jamais), la méthode ci-dessous reste valable

 

On télécharge le script ici

On décompresse l’archive ( où vous voulez, à titre perso, je l’ai claqué dans /home/user/Documents)

Dans ce même dossier, on ajoute le paquet PacketTracer_730_amd64.deb qu’on a téléchargé sur le site officiel : https://www.netacad.com/fr (il faudra vous créer un compte auparavant.)

On se déplace dans le dossier contenant, donc si vous avez suivi pour moi ce sera :

$cd /home/user/Documents

Puis on exécute le script en root

#./packet-tracer-7.3.0-install.sh

Voilà, ça roule.

Note: Visiblement, cette méthode est valable pour toutes les versions de Debian et ses dérivées (Ubuntu-like) , mais pas testé par mes soins.

A vous de jouer.

Note: sur Debian unstable, la dépendance qt-at-spi pose problème lors de la mise à jour (dépendances obsolètes) et la bloque. Et sincèrement, je n’ai pas le temps de m’en occuper à l’instant -t (on doit pouvoir jouer dans les préférences d’apt ou dpkg), je regarderai ça plus tard pour ma part…

Note(bis): Finalement, j’ai résolu le problème genre brute épaisse à pilosité imposante.

Edition du fichier /var/lib/dpkg/status en virant la ligne Depends au niveau de packettracer et j’ai appliqué la mise à jour,. Packettracer est reconfiguré pendant la màj et opérationnel après un reboot ( il n’est plus « cassé »). Les puristes crieront au scandale, mais ça fait longtemps que je me passe de leur avis vis à vis de Debian  😉

A voir si ça tient dans le temps

 

Fedora: installer VSCodium

VSCodium est le penchant libre, licence MIT, de Visual Studio Code (de chez tonton ‘crosoft).
C’est un « fork » de ce logiciel. (Booouhouhou le vilain mot.. 🙂  )

La raison?

« Microsoft’s source code is open source (MIT-licensed), but the product available for download (Visual Studio Code) is licensed under this not-FLOSS license and contains telemetry/tracking. »

(Le code source de vscode de Microsoft est open source (sous licence MIT), mais le produit disponible en téléchargement est sous licence non-FLOSS et contient des éléments permettant la télémétrie et le suivi de l’utilisation du logiciel.)

Et, accessoirement, c’est le logiciel avec lequel je vais bosser dans l’immédiat.

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Fedora : Firefox Developer Edition via Flatpak

Pour être en position de critiquer une philosophie, une idée ou simplement une technique, il faut l’appliquer et/ou s’en servir. Ce que je fais sous Fedora. ( Je rappelle qu’en plus de Debian, Slack et Void, y aussi une Fedo à la maison)

Et puis, je pense qu’on peut faire confiance aux personnes derrière cette distribution,  niveau sécurité du contenu. C’est du travail Sérieux…

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Débutants : Ubuntu 18.04LTS (Gnome) – Post-installation & fonctionnement général

Comme je l’ai signifié dans le billet servant d’introduction à la découverte de cette Ubuntu, l’installation a été faite de façon minimale.

La première chose à faire est donc :

1/ Installer quelques programmes dont nous aurons besoin (ou pas). Pour cela j’utilise la logithèque (ce que fera l’utilisateur non-g33k) dont voici le lanceur

J’ai installé Clémentine (audio), VLC (Vidéo), la suite LibreOffice, Gimp, OBS Studio (autant en profiter pour voir ce que vaut ce type de logiciel), Steam et Gnome-tweak ( celui-ci est super important pour la suite, lorsqu’il s’agira de configurer GNOME en profondeur) qui sont visiblement tous des paquets dits « Universels ».

Vous êtes seul maître à bord, installez ce dont vous avez besoin.

J’avoue que l’idée de l’installation minimale est vraiment une excellente chose, mais il faut que je creuse plus sérieusement cette histoire de Snap pour le billet qui concernera la gestion des logiciels

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Compte rendu d’installation: Linux Mint 18.3 sur HP Laptop 15 (DualCore)+ Résolution PB Realtek rtl8723de

Maintenant, on fait livrer directement les machines neuves à mon domicile pour que je fasse passer un « manchot » par la « Fenêtre », avant qu’elles ne passent dans les mains de leurs propriétaires  (Ma belle sœur, dans ce cas)

C’est donc un HP Laptop 15 qui remplacera son ancienne machine, victime d’une attaque destructrice au biberon, qui tournait déjà en Dual Boot Win/Mint (avant de passer 100% Mint)

Matos :

-Processeur Intel Celeron N3060 (1,6Ghz)

-Disque Dur de 1To

-SDRAM DDR3 4Go

-Lecteur DVD Lire la suite

Débutants: Linux Mint- 3ème partie – Le bureau Cinnamon & Gestion du matériel et des périphériques

[NOTE] : J’avais prévu de faire un billet sur la gestion du matériel et de périphériques pour cette 3ème partie. Je suis revenu sur cette décision en ajoutant le fonctionnement du bureau (en introduction), histoire de ne pas perturbé les lecteurs novices (l’un ne va pas sans l’autre). Ce billet sera donc finalement le plus long de la série…

Le bureau :

Il y a une flopée de bureaux disponibles dans le petit monde Gnu/Linux. Linux Mint proposera 2 images d’installation avec 2 interfaces différentes (Il y en avait 3 jusqu’à présent) pour sa prochaine version : Cinnamon et MATE.

Pour rédiger ces quelques billets, j’ai choisi Cinnamon. Pourquoi? Certainement parce que c’est un des bureaux les plus plébiscité par les évadés de chez Microsoft et que MATE est totalement dénaturé pour coller aux standards esthétiques et fonctionnels de Mint.

De plus, Cinnamon a été développé par, et pour, Linux Mint. C’est un « fork » [ Note: Le fork est un logiciel créé à partir du code source d’un autre logiciel. Pratique (trop?) répandue dans le petit monde du logiciel libre puisque, en général, la licence le permet (utilisation, modification et redistribution du code source). Fork est un mot qui va être utilisé à plusieurs reprises par la suite, autant que les moins habitués au logiciel libre appréhendent sa nature avant de continuer] d’un autre bureau : Gnome (dans sa version 3).

Cinnamon est aujourd’hui disponible pour la quasi-totalité des distributions Gnu/Linux

Dans le premier billet de cette série destinée à Mint , nous avons survolé les possibilités de ce bureau, dont l’utilisation du Menu (sur lequel je ne reviendrai pas, puisque l’essentiel a été dit) . Explorons, aujourd’hui, les entrailles de cette interface graphique ( façon Alien ).

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