Linux mint dans sa version 13 est le système que j’avais installé sur le Compaq de mon beau-frère.
Un Compaq Presario A900 Notebook PC, pour être précis, de 2008
Son premier (et seul) Gnu/Linux, en dual boot avec 7 de chez ‘Crosoft, a donc été Linux Mint 13 (en version 32 bits, c’est la seule image que j’avais sous la main à l’époque), arrivé en fin de vie en Mai 2017. Jamais de réels problèmes rencontrés, un petit dpkg –configure -a il ya quelques mois…. Comme quoi, même les non-geeks y arrivent
Néanmoins, il était temps de s’en occuper
Passer de la version 13 à la 18.2 s’est avéré….. conflictuel ( surtout au niveau de Cinnamon, très conflictuel)
Je suis donc passé par un BackUp des données pour installer la version 18.2 via .iso ( pour architecture 64 bits, cette fois)
Ce qui m’a fait tiquer, c’est la présence du noyau 4.8.xxx sur l’image et vu le passif avec ce noyau….
L’installation s’est faite sans soucis, mais le deuxième démarrage a été foireux…
Ce noyau n’aime pas le firmware Intel, pourtant important pour les performances de ce genre de machine, avec ce genre de distribution…
Donc, reboot en « recovery mode »…
Miracle, la première mise à jour va me proposer une version 4.10 du kernel (voir la capture ci dessus) . Pas d’hésitation donc..
Cette machine fonctionne très bien, malgré son âge et ses ressources dépassées.
J’en ai profité pour réinstaller Sweethome3d ainsi que Draftsight ( ouais, je sais, c’est cracra, mais ce n’est pas ma machine et cet outil est un réel équivalent à Autocad pour ceux qui utilisent ce genre de logiciels) ainsi que Skype ( pareil que pour le logiciel précédent ) …
Une petite mise à niveau et j’ai le temps de voir venir d’ici 2021 😀
Je suis vraiment surpris par la longévité de cette vieille génération de machines. Cette époque où robustesse n’était pas juste un mot.
Niveau son ? Pornophonique : » Space invaders » , album: « 8-bit Lagerfeuer » (2007)
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